La firme française Ubisoft fait partie des plus grands studios de développement, d’édition et de distribution de jeux vidéo dans le monde. A elle seule, elle dispose de plusieurs franchises réputées et appréciées, telles que Rayman, Prince of Persia, Rainbow Six, Splinter Cell ou Tom Clancy’s. Far Cry est une autre de ses licences qui a connu de beaux jours. Lancé sur PS4 et Xbox One le 23 février 2016 puis sur PC en mars 2016, Far Cry Primal fait face à un grand défi : faire mieux que son aîné, Far Cry 4, recconu meilleur jeu de tir à la première personne aux Game Awards 2014.
Le monde d’Oros
Dans Far Cry Primal, vous incarnez Takkar de la tribu des Wenja dont le seul but est de trouver une terre où vivre en paix. Malheureusement, la terre d’Oros est habitée par deux autres peuples nomades plus féroces et violents, à savoir les Izila ayant la maîtrise du feu et les Udam qui sont des cannibales de la pire espèce. Petit à petit, votre peuple se fait alors décimer. Luttant pour votre survie et celle du reste de votre tribu, vous partez chasser les mammouths mais là encore, tout tourne au drame. Ainsi, il ne vous reste plus qu’à rassembler le peu qui reste de votre peuplade et de lutter contre vos ennemis. Ceci, la tâche qui vous attend est loin d’être facile.
Le chaud et le froid
Il faut dire que ses développeurs n’ont pas ménagé leurs efforts quant à l’aspect visuel et esthétique de Far Cry Primal. Ils se sont donnés la peine de créer un monde préhistorique très réaliste, avec des détails surprenants aussi bien sur la faune et la flore que les personnages. Il en est de même pour les dialogues même s’ils ne sont pas compréhensibles, hommes de Néandertal obligent ! Cependant, nous regrettons le manque d’innovations du jeu qui nous ramène tout de suite aux volets précédents. En effet, les lianes remplacent les échelles, les arcs pour les fusils, la terre hostile pour la jungle hostile et bien d’autres exemples. Nous avons donc l’impression d’avoir affaire à du réchauffé.